histoire de pirate

continuez l histoire !!
tavernier une biere et 3 femmes!!!

depuis mon depart il ya 6 mois je suis tomber sur une sirene qui m a faisperdre la tete
j etais en mer quand j ai entendu cette voi douce qui percais le silence de cette ocean sans vent....)
-et que s est il passé avec sette voie(a vous)

cetet ressemblait a celle dune deesse et je me susi laisser emporter
par ces chants melodieux
apres une approche vers elle ellle me dit gentiment: veux tu baiser avc moi???
(suite a vous: dsl pour la vulgarité)
balou

Oui je le veux ouuiiiiii
Viens, viens me dit-elle, viens me toucher, viens me .....
Comme hypnotisé, je ne quitte pas du regard cette créature diabolique, ce corps, ses formes, cette bouche voluptueuse (quoique poisseuse).
Sa voix ne cesse de résonner dans mon crane "viens, viens me prendre, viens je le veux, maintenant !"
Ses yeux se mirent à flamboyer de mille feux et mon corps se mit à bouger. Une seule chose compte, sauter par-dessus bord pour rejoindre cette créature de débauche et de perdition.

(que se passe-t-il après, saute ou saute pas; bonne prose)

alors que j'étais allongé pour contempler sette sublime créature, un bruit d'enfer me reveilla, je sursaute de mon lit, un boulet traverse notre chambre juste au niveau de la mer, plusieurs de nos compagnons ont été surpris, la je réalise que ce n'est pas un rève mais la réalité. dommage pour la poupéé. un branle bas de combat général se fait entendre, la je cours à mon poste
a vous la suite

a environ 10 lieues de notre gallion japercu un vaisseaux de guerer pirate avc ses hors la loi pret a nous couper en rondelle
je decidis de contre attak.......

Ave notre coque percée et la voie d'eau qui s'engouffrait dans la soute. le trois mâts pirates se rapprochait à une vitesse supérieure à la notre, l'abordage était inévitable.
des marins grimpèrent le long des mâts, et dénouèrent les liens qui retenaient les voiles du dernier niveau, notre vitesse de croisière n'était plus suffisante, tout devait être fait pour échapper aux poursuivants.
les voiles tombèrent et le navire gagna en vitesse, je regardais mes hommes et pria pour que la mort soit rapide

Impossible de lui échapper. Il fond sur nous comme le requin qui a flairé l'odeur du sang. L'abordage est terrible . Du sang , du sang partout , des bras tranchés , des cranes fracassés , des hommes agonisant sur le pont , des cadavres mutilés. L'enfer sur mer.
C'est là que je le vis , notre seul espoir de survie. Le capitaine ennemi , un unijambiste avec une main terminé par un crochet. Je bondis sur le pont ennemi et me rue dessus. Si je le tue peut etre que .........

lep robleme c'est que un matelot ennemie me voyant me lanca une rafale de poudre dans le bras gauche ce qui me fit maffaler sur le pont ennemie au pied de ce forban..
rassemblant toutes mes forces je reussis a me relever et a trancher la tete de ce connard!!!
je me retrouva donc amoche en face du capitaine qui me dit:..............

cesse de fuir ton destin mecreant !!!

tu le sait deja !!nous tuer ne te revient a rien !!ton sort en est jeté !
ton ame nous appartient pour l eternité !

la je lui repondit "jamais..... jamais !!!!!!
-encore moins devant ta face de pieuvre !!!!"

-"COMMENT"!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

et la alors que le cog de guerre sur lequel je navigais s engouffrais dans la mer je sentis un courant d air me galcer l esprit !!!
dans cette mer de l oubli mon pire probleme n etais plus la face de pieuvre qui se trouvait en face de moi .....

cet air glacé ne m etais pas inconnu.........

Cet air glacé
une tempête se profilait à l'horizon, il fallait vite se débarrassé de cet abordage qui n'en finissait pas, nous prenions le dessus, la poudre avait une odeur acre et mortuaire,
Quand tout à coup le capitaine du navire stoppa le combat, compris qu'il n'aurait pas le dessus me donna son sabre et contempla ses hommes sur le pont,
seul une vingtaine d'hommes lui restait, nous les mettons dans la cale le temps de piller le navire et l'envoyer par le fond, nous prenons tout ce qui est neccessaire pour notre navire (nourriture, poudre, armes, etc..).
maintenant il faut s'éloigner de ccette poudrière qui ne vas pas tarder à exploser.
nous mettons tout en oeuvre pour nous préparer au pire
car dans quelques heures la tempête sera sur nous.....

A peine avions-nous balancé nos morts par-dessus bord que la tempete fut sur nous . D'une violence inouie , le ciel noir comme les portes de l'enfer , tous à bord sont surpris par la rapidité avec laquelle elle a surgie. Démoniaque , surnaturelle , je n'aime pas cette tempete. La peur s'installe dand l'équipage.
" tout le monde à son poste et j'occis le premier qui faiblit" hurlai-je en transperçant de mon sabre le matelot en face de moi ( pas de bol pour lui mais fallais un exemple).
Cela fait des heures que mon second et moi-meme tenons la barre. Chaque vague manque de nous envoyer par dessus bord et de retourner le navire . Le vent hurle à nos oreilles et la déferlante des vagues ne semble pas s'arreter. Soudain , le matelot venu en renfort tenir la barre hurle :
" attention , capitaine , navire droit devant "
" barre à tribord et accrochez-vous " répondis-je
Le navire fila droit sur nous , rasant notre flanc par babord . Je vis le capitaine sur son pont lorsqu'il tourna la tete pour me regarder.
" non non c'est pas possible je reve l'eau de mer que j'ai avalée à du me monter à la tete , des tentacules autour du cou , un visage cadavérique , le Hollandais fou non j'ai du halluciner"
Toujours est-il que la tempete s'est arretée comme elle est venue. Je vois bien que l'équipage est inquiet , faut agir vite.
" perçons les futs de rhum , buvons à la fin de cette tempete , allez chercher la prisonière et amusez-vous avec " , dis-je à l'équipage (tant pis , je me la gardais mais bon...) et pour faire bonne mesure , je fais pendre quelques prisonniers à la haute vergue.
On raconte que le trésor du Hollandais fou est considérable hummmmmm que faire ?